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Can J Vet Res ; 88(2): 45-54, 2024 Apr.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-38595951

RESUMO

Honey bees can be affected by a variety of pathogens, which impacts their vital role as pollinators in agriculture. A cross-sectional study was conducted in southwestern Quebec to: i) estimate the prevalence of 11 bee pathogens; ii) assess the agreement between beekeeper suspicion of a disease and laboratory detection of the causative pathogen; and iii) explore the association between observed clinical signs and pathogen detection in a colony. A total of 242 colonies in 31 apiaries owned by 15 beekeepers was sampled in August 2017. The prevalence of Varroa destructor detection was estimated as 48% for colonies and 93% for apiaries. The apparent prevalence of colonies infected by Nosema spp. and Melissococcus plutonius was estimated as 40% and 21%, respectively. At least 180 colonies were tested by polymerase chain reaction (PCR) for deformed wing virus (DWV), acute-Kashmir-Israeli complex (AKI complex), and black queen cell virus (BQCV), which were detected in 33%, 9%, and 95% of colonies, respectively. Acarapis woodi, Paenibacillus larvae, and Aethina tumida were not detected. Varroasis was suspected by beekeepers in 14 of the 15 beekeeping operations in which the mite was detected. However, no correlation was found between suspected European foulbrood and detection of M. plutonius or between suspected nosemosis and detection of Nosema spp. Colony weakness was associated with Nosema spore counts of at least 0.5 × 106 per bee. Melissococcus plutonius was more frequently detected in colonies showing scattered brood.


Les abeilles mellifères peuvent être affectées par plusieurs agents pathogènes, impactant leur rôle vital de pollinisateur en agriculture. Une étude transversale a été réalisée dans le sud-ouest du Québec afin 1) d'estimer la prévalence de onze agents pathogènes de l'abeille, 2) d'évaluer l'accord entre la suspicion d'une maladie par l'apiculteur et la détection de l'agent causal, 3) d'explorer les associations entre les signes cliniques et la détection d'un agent pathogène dans une colonie. Au total, 242 colonies de 31 ruchers appartenant à 15 apiculteurs ont été échantillonnées en août 2017. La prévalence de Varroa destructor a été estimée à 48 % pour les colonies et à 93 % pour les ruchers. La prévalence apparente de colonies infectées par Nosema spp. ou Melissococcus plutonius a été estimée à respectivement 40 % et 21 %. Le virus des ailes déformées, le complexe viral AKI et le virus de la reine noire ont été détectés dans respectivement 33 %, 9 % et 95 % dans des 180 colonies testées par PCR. Acarapis woodi, Paenibacillus larvae et Aethina tumida n'ont pas été détectés. La varroase était suspectée par les apiculteurs de 14 des 15 entreprises où la mite a été détectée. Aucune corrélation n'a été trouvée entre la suspicion de loque européenne et la détection de M. plutonius ou entre la suspicion de nosémose et la détection de Nosema spp. La faiblesse des colonies a été associée à des comptes de Nosema d'au moins 0,5 × 106 spores par abeille. Melissococcus plutonius était plus fréquemment détecté parmi les colonies présentant du couvain en mosaïque.(Traduit pas les auteurs).


Assuntos
Estudos Transversais , Enterococcaceae , Vírus de RNA , Abelhas , Animais , Quebeque/epidemiologia , Prevalência
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